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L'écluse
Rendez vous :
Ile de Puteaux, Ecluse de Suresnes
Dimanche 22 janvier
8H00
8h00 : Préparatifs
8h10 : Briefing
8h20 : Départ
Vous aviez aimé les Médailles d'Arago vous adorerez cette nouvelle chasse aux trésors parisienne. On garde les fondamentaux de nos sorties rallye:
Nouveautés de l'année :
Avec le Bazar : on court avec sa tête ! Gilles PS 1 : C'est facile à Vélo ?. Le parcours est assez plat, mais il faut qu'on le vous dise il peut y avoir quelques marches... PS 2 : Pourquoi l'écluse ? Ce sera notre point de départ :-
PS 3 : En attendant quelques lignes sur l'histoire de Puteaux "Aqua Puta" : eau polluée ; ou "Puteoli" : petits puits ; mentionné dans une charte de Dagobert en 646. Dépendit de la paroisse de Suresnes jusqu'en 1523 où, après de longs débats, l'abbé de Saint-Germain des Prés dont elle dépendait, autorisa l'érection d'une chapelle annexe de la paroisse de Suresnes ; l'autonomie religieuse ne fut accordée qu'en 1717 par l'archevêque de Paris. En 1791, délimitations définitives des communes de Suresnes et de Puteaux à qui l'île de Puteaux fut attribuée en entier. Aux 17ème et 18ème, Puteaux était un pays de vignobles, de maisons de campagne et de "folies". En 1708, naissance du futur ingénieur Perronet, constructeur du pont de Neuilly. Premières installations industrielles à partir de la Restauration (encres d'imprimerie au moulin de Chantecoq) puis manufactures d'impressions sur étoffes, blanchisseries, teintureries, parfumeries (en raison des cultures de roses) ; établissement du chemin de fer en 1839 ; ateliers de savon, de matières colorantes ; c'est à l'arsenal de Puteaux que fut construit le canon de 75. Le village souffrit des bombardements du Mont-Valérien en 1870 et des troupes des Fédérés de la commune. Installation de l'industrie automobile avec l'usine de Dion-Bouton en 1882, fabrication de bicyclettes, de carrosserie, ateliers de construction, entreprise de charpente, produits chimiques, fabrique de caoutchouc, de moteurs d'avion (Levavasseur), tannerie, imprimerie. Effort d'urbanisation dès 1936 ; à partir de 1960, transformation radicale de tout le nord-est de la commune, par la construction du quartier de la Défense. Personnalités célèbres : le musicien Lulli vers 1675, le duc de Grammont et le duc de Penthièvre, le musicien Bellini y mourut en 1835. Dans les années 1910/14, le "groupe de Puteaux" rassembla Raymond Duchamp-Villon, Jacques Villon, Picabia, Apollinaire. Villon (1957) et Kupka (1963) moururent à Puteaux. Et sur l'histoire du barrage Vers 1938. Éch. 1/20e Le premier barrage de Suresnes (type Poirée) fut édifié sur 3 bras de la Seine, entre 1864 et 1869, avec une écluse. Cette dernière fut doublée entre 1880 et 1885. D’importants travaux furent également entrepris après les inondations de 1910, pour mieux réguler le débit du fleuve. Un programme d’amélioration de la Seine fut notamment approuvé par la loi du 27 juillet 1917. Enfin, entre 1930 et 1933, on construisit le nouveau barrage, représenté parcette maquette. Les études furent menées parallèlement à celles du barrage de Chatou, reconstruit à la même époque. Le déversoir représenté ici occupe l’une des trois passes (bras de Neuilly). Large de 66 m, il est divisé en deux parties de 30,5 m séparées par une pile centrale de 5 m. Chaque partie est fermée par deux vannes en acier (de 95 et 77 tonnes), fonctionnant comme celles du barrage de Chatou. Les vannes inférieures reposent sur une table en acier ; les vannes supérieures sont des hausses mobiles. Elles peuvent se relever complètement avec la passerelle. Chaque pile et culée est surmontée d’une salle des machines abritant les mécanismes de manoeuvre des vannes. La seconde passe, navigable, est occupée par les écluses (bras de Puteaux). La troisième ouvre sur un bras mort de débit négligeable.
Crédits : |
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